un article de Paris-Normandie revient sur la page Facebook « Vélo Volé Rouen ».
Cela peut faire sourire, mais c’est un véritable fléau pour les cyclistes. « Nous comptons une disparition tous les deux jours, uniquement chez nos adhérents, détaille Simon Larchevêque. C’est important ! C’est la troisième cause d’arrêt de la pratique du cyclisme en ville, après le manque d’aménagements et la sécurité. De plus, les vélos sont rarement assurés. » Géré en interne, le site comprend aussi des articles. « Nous donnons des informations sur l’accrochage. Il faut être cohérent entre le prix du vélo et le choix de l’antivol. Il faut savoir qu’avec une pince à 3 €, les voleurs peuvent couper la majorité des plus simples. »
Guidoline incite aussi les victimes à porter plainte systématiquement. « L’effet communautaire fonctionne, assure Simon Larchevêque. Le vol d’un vélo n’est pas innocent. C’est un moyen de transport du quotidien, surtout depuis le boom des vélos électriques qui impliquent des budgets importants. »
Outre un bon antivol (voir les tests 2016 de la FUB), pensez à faire marquer votre vélo : des sessions sont organisées régulièrement à Rouen avec l’opérateur bicycode agrée : AVélo.